Accastilllage
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Installé sur le pont, un panneau est sujet aux intempéries et aux salissures. Pour qu’il garde sa transparence, un minimum d’entretien est nécessaire.
- En premier, après chaque sortie, rincez-le à l’eau douce pour ôter le sel.
- Si la glace possède des microrayures, vous pourrez les rattraper à l'aide de produits (voir le polish plexi dans le catalogue) à condition de jouer de l'huile de coude.
- Si le panneau possède des rayures importantes ou des micro-cassures internes (dues au vieillissement), il faut changer la glace.
- Sur les panneaux disposant de fermoirs à vis ne jamais serrer exagérément.
- Eviter la graisse sur les joints, elle garde les salissures et forme une sorte de colle avec le sel qui endommage les caoutchoucs. -
On peut classer les poulies en cinq familles :
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On peut être amené à installer des bloqueurs supplémentaires (renvoi de manœuvres au cockpit, cordage d’enrouleur...) ou simplement remplacer les modèles existants.
Le choix du bloqueur doit être déterminé principalement en fonction du diamètre du cordage. Un bloqueur est toujours donné pour un diamètre de cordage minimum et un maximum voire pour trois (mini, recommandé, maxi). Par exemple 6 à 10 mm ou 6, 8, 10 mm. A chaque fois est indiquée une charge de travail maximum (par exemple 500 kg).
Depuis peu, certains bloqueurs sont destinés aux cordages exotiques (Kevlar®, Aramide®...) qui ont tendance à glisser dans les bloqueurs standard. -
Lorsque l’on remplace un winch, bien souvent l’emplacement et le perçage sont déterminés. Ce qui implique de prendre un modèle identique en encombrement mais pas nécessairement en fonction. On peut remplacer un winch standard par un winch self-tailing avec 1 ou 2 vitesses.
Un winch self-tailing permet une utilisation plus facile par une seule personne car il ne faut pas tenir le cordage en sortie. -
A l'origine l'enrouleur est apparu pour faciliter le travail de réduction de voilure. Fini d'aller changer de foc sur la plage avant quand le vent monte, il suffit de le rouler en restant à l'abri dans le cockpit. Seulement le système à une limite, une fois roulé le génois forme une grosse poche difficilement résorbable. Trop creux, il devient trop puissant. Ainsi sont apparues des trinquettes (souvent aussi sur enrouleur). Quand le vent monte on roule le génois pour dérouler la trinquette, plus petite et plus plate. C'est une très bonne solution. L'enrouleur ne sert plus alors que de système de rangement de la voile. Soit il est roulé, soit déroulé. Un système tout ou rien. Ainsi est né le stockeur qui ne permet pas de position intermédiaire mais qui reste à poste. Enfin, on peut être amené à vouloir envoyer des voiles supplémentaires (principalement au po
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En évitant le sertissage (à réaliser avec une machine spécifique), les terminaisons à montage manuel représentent une alternative indispensable pour ceux qui veulent s'épargner de fastidieux calculs de longueur de câble. En étant réalisables même en pleine mer, elles apportent autonomie, rapidité et facilité. Elles peuvent être aisément réutilisées après le remplacement du cône de compression. Elles sont réalisées en inox 316L et conçues pour une utilisation avec du câble monotorons (1x19). Ne jamais employer sur des fibres synthétiques ou de l'acier galvanisé. Montage très simple en suivant scrupuleusement la notice.
Certifié par la Lloyd's Register. -
L'étai creux s'installe sur l'étai. Il évite l'utilisation de mousqueton (impossible bien entendu d'ajouter un enrouleur !). Il permet de garder un parfait profil à la voile.
Souvent les étais creux sont à double gorge afin de pouvoir envoyer un foc avant d'avoir affaler l'ancien.Réalisés en composite, ils sont très légers pour ne pas alourdir les hauts.
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Aujourd'hui le spi n'est plus symétrique. Il ne se porte plus au bout d'un tangon. Pour le bonheur des plaisanciers qui voit les manoeuvres se simplifier, le spi s'amure à l'étrave et ne s'utilise plus qu'avec 2 écoutes (finis les bras, hale bas et balancine de tangon).
Pourtant pour être efficace, surtout en descendant dans le lit du vent, il faut que le spi soit le plus éloigné de la grand-voile pour éviter son dévent. Pour cela on utilise un bout-dehors. -
Le stick est un équipement que l’on trouve sur les bateaux à barre franche. C'est une sorte de rallonge de barre. Il permet de barrer dans une position optimum et de mieux sentir le bateau.
Il doit être choisi en fonction du bateau. Si le bateau a un comportement doux et équilibré, on s’oriente vers un stick léger. S’il est dur à la barre, il est préférable de prendre un modèle surdimensionné.
Sur les petits voiliers, le stick bâton est bien souvent suffisant. Sur un croiseur, le modèle raquette est mieux.
Il est toujours préférable de s’orienter vers un stick télescopique qui peut s’adapter à la largeur du cockpit et à la position du barreur. -
La manille universelle n’existe pas, il faut la choisir pour une fonction donnée. La manille universelle n’existe pas, il faut la choisir pour une fonction donnée. Par exemple, une manille torse pour un renvoi à 90°, une manille large pour la drisse de grand-voile ou encore une manille cosse pour un cordage.
Nous vous proposons, outre les manilles galvanisées pour le mouillage, des manilles forgées inox et des découpées inox.
Pour chaque produit certifié, nous vous donnons la charge de rupture. Cette dernière doit être divisée par 2,5 pour avoir la charge de travail.
L’avantage de l’inox forgé par rapport à l’inox moulé, est une résistance supérieure. En plus, il se déforme avant de casser.